Boston : Life is beautiful... and the whales too!
Alors, voilà, Boston c’est vraiment de la balle ! Commençons par le début enfin, non ! commençons par ce que j’ai le plus aimé. Enfin, c’est surtout que ce genre d’expérience vous marque peut-être plus que les autres. On dit souvent qu’une ville ressemble à toutes les villes. Je dirai plutôt qu’on visite toujours les villes de la même manière. Mais certaines villes présentent des caractéristiques ou des secrets qui changent le cours de la visite. Voilà, nous on a commencé par le plus impressionnant : LES BALEINES !!! C’était grandiose ! On a eu beaucoup de chance car c'est la période de migration donc elle se regroupent juste avant de partir plus au large. Au final, on en a bien vu une vingtaine. Il y en a une qui est même venue sur le bord du bateau et est passée juste en dessous. J’ai essayé de les prendre en photos mais not really easy, ces dames sont timides elles n'osent pas nous montrer leur gros ventre!! Mais bon j'ai quand même réussi à avoir quelques clichés !
Sinon, on a fait tout le tour de la ville en suivant
le Freedom trail, qui est un chemin tracé en rouge qui traverse la
ville, puis on est allé dans le quartier de Bacon Hill, Cambridge dont
Harvard où on a été très privilégiée car on a réussi à rentrer avec
Clémence dans la prestigieuse BU de Harvard où seul (hormis les
étudiants !) les parents, frères et soeurs, accompagnés de l'étudiant
peuvent rentrer. On s'est fait copine avec la dame de l'entrer qui nous
a dit que si on connaissait des amis qui sont à Harvard elle nous
laisserait rentrer et nous expliquant qu'aucun n'élève n'accepterai si
on ne les connaissaient pas. Enfin, ayant le contact facile, je me suis
fait deux trois connaissances en quelques minutes qui ont bien
évidemment accepter de nous accompagner. La dame a halluciné et nous a
répété quinze fois qu'on était very very lucky! Mais bon que voulez
vous on a le contact facile ou on ne l’a pas! Bref, après ça on est
allé se cultiver un peu au Museum of Fine Art. Enfin, il pleuvait des
trombes c'est pas comme si on avait eu le choix!
Pour conclure sur
Boston, une des seules raisons peut-être pour lesquelles je ne pourrais
pas y vivre est tout simplement qu’il fait bien trop froid : on était
seulement en octobre qu’on sentait déjà l’ambiance de Noël et avec - 40
degré en plein hiver, je tiendrai pas le coup !